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Nous vous proposons aujourd'hui le test d'un commutateur Connectland KVM chez notre partenaire ADNPC 2 ports baptisé DS-KVM-DVI+VGA-2P+A permettant de switcher d'un ordinateur à l'autre avec un seul moniteur/clavier/souris.... rubrique News.
Préparé par : ROBBE REMITA (14/02/2009)
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L'iPad est une tablette électronique conçue et développée par Apple. Il est particulièrement orienté vers les médias tels que les livres, journaux, magazines, films, musiques, jeux ; mais aussi vers l'Internet et l'accès à ses courriers électroniques. À environ 700 grammes, sa taille et son poids sont situés entre ceux des smartphones et ceux des ordinateurs portables. Apple a vendu 3 millions d'iPad dans les 80 jours suivant sa sortie[10].
L'iPad tourne avec le même système d'exploitation que celui de l'iPhone et de l'iPod touch, bien qu'il soit pour l'instant en décalage avec ces derniers; en effet iOS 4 pour iPad ne sortira qu'à l'automne 2010. Il possède pour le moment une version spécifique d'iOS, la 3.2. L'iPad peut aussi bien exécuter des applications spécifiques à sa plateforme que des applications développées pour iPhone et iPod touch. Sans modification logicielle, ces applications sont, à l'instar des deux appareils, téléchargeables sur l'App Store.
Comme l'iPhone et l'iPod Touch, l'iPad est contrôlé via un écran multipoint sensible à un maximum de onze doigts[11], à la différence d'autres anciennes tablettes qui utilisaient un stylet à la pression déclenchée. L'iPad utilise soit une connexion Wi-Fi présente dans les modèles Wi-Fi et Wi-Fi + 3G, soit une connexion au réseau 3G, le tout pour naviguer sur Internet, télécharger ou envoyer des données, et installer des applications. Le câble USB 2.0, fourni et nécessaire pour la synchronisation de données avec iTunes sur un ordinateur personnel — logiciel par lequel l'appareil est géré — est le même que celui de la gamme iPod et iPhone.
La réaction des médias à l'égard de l'iPad fut généralement neutre ou positive, avec une réaction plus positive après sa sortie. Si la presse spécialisée a en général salué l'esthétique, la réactivité et le caractère intuitif de l'appareil, elle fut plus critique concernant certaines de ses limitations, et sa distinction peu marquée avec l'iPhone ou l'iPod Touch.
Article proposé par David REMITA 10/09/2010
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commutateur Connectland
Notions de base d’aérodynamique
Afin de faciliter la compréhension de ce TPE, nous fournissons cette annexe qui regroupe les principales notions de base d’aérodynamique.
L’aile
Illustration 1.0.0.1 : Profil d’aile et illustration de la masse d'air l'entourant lors de son déplacement
L’aile assure la sustentation aérodynamique. Sur le profil d’aile présenté en illustration ci-dessus, on peut visualiser les principales parties d’une aile. La partie supérieure de l’aile est appelée Extrados et la partie inférieure Intrados. La corde de profil est la droite qui lie le bord d’attaque au bord de fuite. On appel « angle d’incidence de l’aile » l’angle entre cette corde de profil et l’horizontale.
Un avion vol car il est aspiré vers le haut. En effet, l’Extrados est le siège d’une dépression (dus au fait que l’air, pour rejoindre le bord de fuite, à beaucoup plus de distance a parcourir que l’air en contacte avec l’intrados, du fait de la courbure de l’aile). Cette dépression est responsable de 90% de la portance, tandis que l’intrados, siège d’une surpression restitue les 10% de portance restante.
Illustration 1.0.0.2 : Pressions aux abords d’une aile en déplacement près du sol
Une aile possède des paramètres propres, notamment deux paramètres principaux qui la caractérisent : le Cx et le Cz
Le Cx, également appelé cœfficient de traînée est un paramètre relatif à chaque aile. Ce paramètre varie avec l’angle d’incidence de l’aile (quand on s’approche d’un angle de 0°, le Cx diminue). Sa valeur est toujours strictement supérieur à 0 (car sinon, cela signifierait que l’aile ne traîne pas, ce qui est impossible).
Le Cz, également appelé cœfficient de sustentation ou de portance est un paramètre également variable selon l’incidence de l’aile, et il peut devenir négatif en dessous d’un certain angle d’incidence. Ce cœfficient chute brutalement arrivé à une incidence de quelques degrés, il s’agit de l’incidence de décrochage. A cette incidence, il n’y a plus suffisamment de portance et l’avion « décroche », et il se met à perdre de l’altitude (il se trouve en fait en chute libre)
Si il y a de la portance, alors il y a toujours de la traînée !
On peut caractériser une aile en traçant sa polaire, avec le Cz en ordonnée et le Cx en abscisse :
Polaire : Pour une aile avec un profil de type Clark Y
La portance est la composante verticale de la résultante aérodynamique, qui va équilibrer le poids de l’avion pour lui permettre de voler. On l’exprime grâce à l’équation : mg = ½ ρ S V² Cz avec :
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m, masse totale de l’avion
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g, accélération de la pesanteur, sur Terre, 9,81
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ρ, densité de l’air, à savoir, au niveau de la mer et en atmosphère standard, 1,2 kg.m-3
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S, surface alaire en m² (la surface alaire, est la surface totale d’une aile)
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V, vitesse en m.s-1
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Cz, cœfficient de portance comme définis plus haut
Quand le paramètre de portance a une valeur supérieure ou égale au poids de l’appareil, alors l’avion peux décoller. La portance est donc une force de même sens que le poids, mais de direction opposée.
La portance est comme nous l’avons vus plus haut, indissociable de la traînée. La traînée, également nommée force de résistance à l’avancement est donc la composante horizontale de la résultante aérodynamique. Elle est essentiellement due aux frottements avec l’air. On peux la calculer avec l’équation suivante : Rx = ½ ρ S V² Cx avec :
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Rx traînée exprimée en Newtons (N)
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ρ, densité de l’air, à savoir, au niveau de la mer et atmosphère standard, 1,2 kg.m-3
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S, surface alaire en m² (la surface alaire est la surface totale d’une aile)
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V, vitesse en m.s-1
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Cx, cœfficient de traînée comme définis plus haut
Les frottements de la carlingue avec l’air produisent comme on l’a vu de la traînée. Cette force a tendance à ralentir l’avion. Pour que l’avion avance, il est nécessaire de fournir de l’énergie, avec une force de propulsion qui sera de même sens que la traînée, mais de direction contraire, à savoir vers l’avant. La puissance nécessaire, donnée en Watts (W), pour contrer la traînée est donnée par l’équation FPropulsion = ½ ρ S V3 Cx avec :
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RPropulsion, exprimé en W
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ρ, densité de l’air, en kg.m-3
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S, surface alaire en m²
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V, vitesse, en m.s-1
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Cx, cœfficient de traînée de l’aile, sans unité
On remarquera que la masse de l’avion n’intervient pas directement dans cette relation (en fait elle intervient indirectement, par la vitesse de décollage, car l’avion ne peut décoller en dessous d’une certaine vitesse).
Illustration 1.0.0.3 : Les forces s’exerçant sur un aéronef en vol en pallier et vitesse stabilisée