LA FAMILLE REMITA
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Les Femmes REMITA
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1804-2004 : les droits des femmes en France

Chronologie

 

1804

Le Code civil napoléonien efface les quelques dispositions prises en 1792 sur le droit au divorce et restaure l'incapacité civile des femmes mariées.

 

1881

Enseignement primaire obligatoire pour les filles comme pour les garçons.

1886

Rétablissement du droit au divorce.

1907

Les femmes mariées peuvent percevoir leur salaire.

1920

Interdiction de diffuser des informations sur la contraception ; criminalisation de l'avortement.

1924

Unification des programmes du baccalauréat masculin et féminin.

1936

Trois femmes sont nommées sous-secrétaires d'Etat, sans droit de vote.

1938

La réforme du Code civil de 1804 supprime l'incapacité civile de la femme mariée.

1942

Lois du régime de Vichy (avec notamment une répression accrue de l'avortement y compris par la peine de mort).

1944

Droit de vote pour les femmes.

1946

Le principe de l'égalité absolue entre homme et femme.

Sélectionné par : Merielle REMITA  (07/02/2010)
 

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L'avenir sera féminin en Algérie

L'avenir sera fémininL'avenir sera féminin

 

Dans un pays réputé conservateur, la scolarisation massive des filles et l’ouverture du marché du travail aux femmes ont permis aux Algériennes de remporter quelques batailles dans la guerre pour la parité.

 

Il aura fallu attendre près d’un demi-siècle après l’indépendance du pays pour que l’Algérienne puisse transmettre sa nationalité à ses enfants nés d’un mariage avec un ressortissant étranger. Un décret présidentiel publié au Journal officiel du 7 février 2009 rend exécutoire cette disposition de la réforme de la loi sur la nationalité, adoptée en 2005.

Pourquoi l’Algérie moderne, née d’un combat libérateur dans lequel la femme a pris une large part, a-t-elle mis autant de temps pour accorder à cette dernière un droit pour le moins élémentaire ? Les conservatismes ont de tout temps primé le lyrisme égalitaire des textes fondateurs de la République. L’égalité entre les citoyennes et les citoyens a été virtuelle, sans pour autant donner naissance à un combat féministe organisé.

Il a fallu attendre les années 1980 et l’adoption, en 1984, d’un code de la famille confinant la femme au statut de mineure à vie pour que la société s’empare de la cause des droits de la femme en Algérie. Et si, un quart de siècle plus tard, cette législation ­inique n’a pu être abrogée, la situation des femmes algériennes a connu des avancées considérables, à l’image de ce nouvel acquis du 7 février 2009.

La démocratisation de l’enseignement est sans doute le slogan révolutionnaire des années 1960 le moins creux. La première année universitaire de l’Algérie indépendante (1962-1963) a vu l’inscription de 576 Algériennes. Aujourd’hui, ce chiffre a été multiplié par mille, puisqu’elles sont près de 600 000 sur les bancs des amphis et dans les laboratoires de recherche de la trentaine de campus que compte l’université algérienne.

La politique volontariste de scolarisation des filles est arrivée à bout des résistances et du conservatisme ambiant. Selon le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), l’amélioration des conditions de scolarisation à travers l’extension du réseau de cantines, le développement du transport scolaire et l’allocation de primes de scolarité a contribué à une sensible augmentation de la parité filles-garçons dans le primaire. Elle est passée de 0,81 en 1990 à 0,89 en 2004 (la norme imposée par les Objectifs du millénaire est de 0,87).

Pour l’enseignement secondaire, l’évolution est plus spectaculaire. En 1990, on comptait 87 lycéennes pour 100 lycéens. Aujourd’hui, elles sont 134 pour le même nombre de garçons. Cette tendance se confirme pour l’enseignement supérieur. Le taux de féminisation atteint 57 % sur l’ensemble des filières. Ce taux monte à 61 % en fin de cycle. Et si les étudiantes sont plus performantes que les « mâles » de leur promotion, cela n’est pas étranger à leur volonté de réussir pour gagner en indépendance et en affirmation de soi dans une société au machisme zélé.

 

Une révolution en marche

Tout cela n’est pas sans conséquences sur la perception du rôle de la femme dans la société. Aujourd’hui, notamment en milieu rural, où il y a quelques années à peine il était difficile de croiser une femme sur la voie publique (dépositaire de l’honneur de la tribu, elle était cloîtrée dans l’espace privé), la féminisation de l’élite a imposé sa présence à des échelons divers, de l’administration à l’entreprise, en passant par l’hôpital ou l’exploitation agricole moderne. Ce n’est pas la révolution, mais cela y ressemble.

Selon le Pnud, la population active féminine connaît une augmentation exponentielle, passant de 8,3 % de l’ensemble en 1991 à près de 18 % en 2006. Plus de la moitié des travailleurs du secteur tertiaire sont des travailleuses, plus du quart des effectifs de l’industrie est constitué d’employées et plus d’un agriculteur sur cinq est une agricultrice. Enfin, si la fonction publique est le premier employeur des femmes, qui sont 400 000 fonctionnaires, notamment dans les secteurs de l’éducation (50 % des effectifs) et celui de la santé, 60 % des femmes actives exercent dans le secteur privé.

Les différents dispositifs d’emploi profitent plus aux jeunes filles (50,5 %) qu’aux jeunes hommes, mais celles-ci demeurent minoritaires dans la micro-entreprise, où moins de 20 % des projets sont initiés par des promotrices.

Mais il ne faut pas croire que tous ces acquis ont été possibles sans concessions. Aucune étude ne le chiffre, mais l’écrasante majorité des salariées, qu’elles soient cadres ou simples exécutantes, portent le voile. Moins par conviction religieuse que pour simplement avoir la paix. « D’instrument de domination masculine, analyse Nadjat, psychologue dans un centre de gériatrie à Boumerdès, le voile est devenu l’outil qui garantit l’indépendance de la femme. Que ce soit dans le milieu rural ou dans une grande ville, un simple fichu sur la tête fait plus pour l’égalité entre les hommes et les femmes que toutes les lois de la République réunies. »

Est-ce pour autant un bémol aux incontestables avancées de la cause féministe en Algérie ? Non, si l’on en juge l’amélioration des conditions de l’autonomie des Algériennes. « Le travail de la femme ne constitue plus un simple revenu d’appoint pour le ménage, explique Nadjat. Les rapports entre conjoints s’en trouvent bouleversés comparés à ceux qu’entretenaient nos parents. »

Si l’on s’en tient à la seule faiblesse du taux de femmes dans la population active (moins de 20 %, un des plus faibles taux au monde) et au peu de postes à hautes responsabilités qu’elles occupent (5 %), on peut dire qu’en matière de parité, il y a loin de la coupe aux lèvres.
Cependant, les femmes ne cessent de gagner du terrain et prennent même le pas sur la gent masculine dans certains domaines comme le commerce, la justice, la presse, les professions médicales, où elles représentent plus de 60 % des effectifs.
Karima REMITA - SETIF Algérie ( 08/10/2009).


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La position de la femme dans la société.

La femme a toujours, dans quelque civilisation que ce soit, été dominée par l'homme. Nous assistons au retour d'un esclavage insidieux : la femme tend à imiter l'homme par le travail. Le travail confère l'autonomie financière à la femme depuis 1940, date à laquelle elle fait apparition dans un monde jusqu'alors réservé aux hommes. Diverses exemples permettront de démontrer la suprématie de l'homme :
- L'inégalité de salaire qui peut exister entre les hommes et les femmes pour un travail donné. D'une manière assez surprenante, nous constatons que la loi elle-même justifie cet état de fait. En fixant le salaire en fonction de l'expérience de l'individu et du travail effectué, il est clair qu'elle permet une inégalité de traitement : qui en effet possède exactement la même expérience ?
- La Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen mettait de côté deux catégories de personnes : les femmes et les noirs.

La loi sur les congés parentaux est destinée aux couples pour leur permettre d'élever leurs enfants. Or, ces congés sont quasiment tous refusés aux hommes selon cette idée que ce doit être la femme qui doit prioritairement éduquer les enfants.

Notre langue, enfin, véhicule la domination masculine. Cela peut paraître anodin, mais il est un fait que le masculin est le dominant du féminin…

La femme est passée du statut de fille à celui de mère. Elle entend maintenant qu'on lui lui reconnaisse un statut de femme, autant dire d'un individu à part entière.

Et cela est fondamental. La différence entre les individus constitue un gage de bonne santé d'une société. Elle lui permet de sans cesse évoluer et d'être de plus en plus créative. Or, la tendance des femmes au mimétisme sur l'homme est préoccupante. La famille et l'éducation sont en perte de vitesse et cette dernière ne permet plus d'être autonome vis-à-vis de l'homme. Il ne convient pas de concevoir la place de la femme dans la société dans une perspective de remplacement d'une domination par une autre. L'équilibre doit être recherché.

Reconnaître la femme en tant qu'individu. Cela paraît la moindre des choses. Dès lors, il ne s'agit plus de vouloir homogénéiser les deux sexes, mais au contraire de cultiver leurs différences (que celles-ci soient de type culturelle ou de type naturelle.) La recherche des particularités essentielles des femmes et des hommes aboutira incontestablement à une complémentarité jusqu'à présent non atteinte parce qu'on ignorait la dualité Nature / Culture.

Article proposé par :  SALIMA  REMITA (COLLO (04/09/2009)
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Femmes et droits dans la famille  REMITA

 

 

Au coeur de la question des droits et de l’égalité dans la famille se trouve la division sexuée et hiérarchisée des rôles. C’est une division d’ordre idéologique et économique, où il est difficile de distinguer ce qui l’emporte. La question du partage inégal du travail domestique est centrale : elle frôle le non-partage. Ainsi la famille, maison, maisonnée, enfants et parfois grands-parents, constitue pour les hommes une instance de confort et de réconfort, d’allègement du travail, de « reconstitution de la force de travail »  pour les femmes une instance d’identité sociale, en partie, mais surtout un surcroît de travail.

C’est la famille qui détermine pour un grand nombre de femmes – pas pour les hommes – la façon dont elles vont investir plus ou moins la sphère du travail salarié et leur engagement professionnel. Quant aux hommes, les données familiales ne déterminent que l’éventuelle majoration de leur salaire par le biais du « supplément » ou du « quotient » familial. La famille est en effet le lieu de mesures « spéciales », qui dérogent au « droit commun » : les femmes n’y sont pas salariées pour le travail qu’elles y effectuent, à 80% en moyenne. Elles sont incitées, surtout en période de chômage, par les mesures d’APE ( Allocation parentale d’éducation) à garder elles-mêmes les enfants en bas âge à la maison, au lieu de recourir aux modes de garde collective : ce qui constitue une commodité pour le mari, libère des places dans l’emploi pour les hommes et arrange les statistiques du chômage pour l’État.

Quant au statut et à la condition des femmes dans la famille, il relève davantage du devoir que du droit, davantage de la contrainte que du choix : l’impératif majoritaire est la conciliation entre l’intérêt financier, le bien-être de tous, les aspirations personnelles et « l’équilibre familial ». Celles qui travaillent à l’extérieur gardent en grande partie la charge de la maison : cela peut atteindre cinq heures par jour, la moyenne restant de quatre heures quarante cinq pour les femmes contre une heure et quart pour les hommes.

Comment réaliser une égalité sur la base d’un travail non rémunéré ? Par quelle loi (« Au nom de la loi, fais la vaisselle ! ») ? Par une augmentation des équipements collectifs et une socialisation maximale des tâches domestiques ? Par une réduction générale des maxima du travail salarié ? Par une prise de conscience ? Sans doute… Elle tarde à se concrétiser.

En fait à la fois l’État et les hommes mariés sont les bénéficiaires de l’inégalité des statuts dans la famille ; les femmes non salariées, quant à elles, outre l’absence d’indépendance économique seule garante de la liberté à l’égard du lien conjugal, sont subordonnées en matière de droits sociaux en tant qu’« ayants droit » au statut du mari ; elles ont des droits « dérivés » à la Sécurité sociale et pas de retraite propre. Même le système des pensions de réversion, réciproque, entraîne en réalité une disparité de revenu au détriment de celles qui n’ont pas travaillé..

Par le biais du « quotient familial », de la globalisation des revenus de la famille, quand la femme est au foyer, le calcul fiscal avantage l’homme marié par rapport au célibataire, ce qui constitue aux yeux de certains un encouragement au statut familial traditionnel.

Les politiques familiales fondent et cautionnent un schéma asymétrique et inégalitaire : les crèches sont présentées comme un avantage accordé aux femmes, à celles qui osent choisir de travailler et qui ont à le payer en argent et en travail

ménager. Par ailleurs, plus ces avantages sociaux sont accordés aux femmes, plus les hommes sont déresponsabilisés : par exemple, l’API (Allocation au parent isolé) a été mise en place pour pallier le non-paiement des pensions alimentaires (et bien avant qu’on soit au coeur de la crise et du chômage !) ; les ressources des femmes sont dans ce cas soumises à l’État, aux enfants et cela à une condition, de rester seules.

Dans une perspective d’égalité, d’individualité et d’universalité des droits, l’État pourrait renoncer aux mesures d’avantages salariaux des hommes dont les épouses sont au foyer, pour favoriser l’accès à l’emploi des femmes qui veulent travailler. Ainsi, dans la sphère familiale comme dans la sphère publique, hommes et femmes vivraient à égalité de statut et de traitement, hors de toute référence archaïque aux assignations naturalistes.

Au-delà du statut économique et social, le droit ne s’applique pas de la même façon aux unes et aux autres dans la famille : en matière de violences, même si c’est le droit commun qui est convoqué, la loi répugne à pénétrer la sphère privée « de l’intime » et la règle du plus fort sévit encore dans l’impunité.

Les plaintes des femmes ne sont pas toujours prises au sérieux et quand on les reconnaît en danger d’être battues, la solution qui leur est offerte est souvent de quitter le domicile et de laisser le bénéfice des lieux au …délinquant.

En matière de divorce, l’effet paritaire joue : les juges sont plus enclins à confier la garde des enfants à un père, ce qui est théoriquement un juste équilibrage des rôles ; dans la réalité, il arrive que des femmes très démunies et sans ressources se voient refuser la garde d’enfants qu’elles ont antérieurement assumés au prétexte d’une « fragilité sociale et morale ». Là encore peut s’imposer la loi du plus fort socialement.

Mais l’inégalité la plus flagrante touche les femmes d’origine étrangère, fussent-elles devenues françaises, qui se voient appliquer en matière d’affaires matrimoniales, en partie, la loi du pays d’origine par le biais du statut personnel et des conventions bilatérales entre les deux pays. Il y a là une infraction grave à l’égalité entre hommes et femmes et à l’Egalité républicaine ; le principe et l’infraction au principe étant tous deux inscrits dans la Constitution.

De fait, la famille reste pour les femmes l’instance où l’inégalité s’exerce, patente ou indirecte, avec une sorte de tolérance et d’accord consensuel, parfois des femmes même, où le droit, la loi et la démocratie qui régissent la cité ont peine à s’imposer aux schémas traditionnels. « Chassez le naturel (ou le culturel !), il revient au galop ! ».

ARTICLE propose par : HOURIA REMITA (16/08/2009)

 

 

« Deux faiblesses qui s'appuient l'une à l'autre créent une force.
 Voilà pourquoi la moitié du monde, en s'appuyant contre l'autre moitié, se raffermit. »
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- Association Pour la promotion de la femme « El bacha’ir »
Présidente : Remita Fahima.
 
ACTUALITE  
  -Bonne nouvelle pour les utilisateurs d eFace book
La famille REMITA est présente sur Face Book.
vous trouvez la page face book sous le nom "lafamille remita"
La direction 23-11-2011
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-La consommation d'alcool au moment de l'adolescence paraît associée à une augmentation du risque de mastopathies proliférantes bénignes à l'âge adulte (HR 1,12 par 10g consommés chaque jour, IC 95 % 1,03 à 1,22).
Article sélectionné par Dr Kamel REMITA -rubrique Quoi de neuf?
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-Ahmed Remita nous a quitté le 15-11-2011 à l'age de 72 ans, c'était un homme de qualité, enseignant, homme de culture et journaliste, il était aussi discret qu'affable, à l'instar d'une autre figure de la presse constantinoise.
La Direction
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19-10-2011
Monsieur Ali REMITA fils de Maghlaoui à décidé aujourd'hui a Média prés d'Alger! après une longue Maladie! à l'age de 71 ans.
nous venons d’apprendre la terrible nouvelle qui touche Notre famille. Aussi nous tenons à vous adresser nos plus sincères condoléances. Sachez que nous nous joignons à vous, et vous invitons à croire en notre affectueux soutien
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29-10-2011
Monsieur Ahcen REMITA fils de Maghlaoui à décidé aujourd'hui a l’hôpital de Mulhouse en France à l'age de 82 ans.
nous venons d’apprendre la terrible nouvelle qui touche Notre famille. Aussi nous tenons à vous adresser nos plus sincères condoléances. Sachez que nous nous joignons à vous, et vous invitons à croire en notre affectueux soutien.
Il va enterrer à Collo en Algérie dans les jours qui vient!
La Direction.

 
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