LA FAMILLE REMITA
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Energie éolienne


Le vent est la source éolienne. L'action du soleil, en chauffant la terre et l'air qui se trouve près de la surface, fait que cet air se dilate, devient plus léger et monte. En montant, il crée une «aspiration» au niveau du sol et de l'air froid vient le remplacer. Plus haut, l'air se refroidit puis redescend. La rotation de la terre fait dévier le vent vers l'est (pour l'hémisphère nord). L'énergie éolienne est utilisée depuis très longtemps. Les voiliers, les moulins à vents sont utilisés depuis l'antiquité. Dans les deux cas l'énergie est directement convertie en énergie cinétique (force et mouvement).

 


 



Fonctionnement d'une éolienne

Les éoliennes, ces moulins à vent modernes utilisés pour la production d'électricité, ne ressemblent en rien aux anciens moulins servant à moudre le grain.

L’éolienne qui produit de l'électricité


Un moyeu à pales aérodynamiques tourne sous l'influence du vent. Un axe relie le moyeu à un alternateur qui produit de l'électricité. Comme l'électricité ne peut pas présenter de variations de fréquence, une technique de régulation fait en sorte que les pales de l'éolienne tournent toujours à la même vitesse. L'efficacité de l'énergie éolienne dépend beaucoup de la localisation. En bord de mer, le vent souffle souvent plus fort que dans l'intérieur du pays, d'où l'idée de mettre les éoliennes en pleine mer, orientée le plus près possible de la direction moyenne du vent.
L'énergie éolienne offre le désavantage de n’être pas constante et plutôt imprévisible. De plus, étant peu concentrée, il faut installer de nombreuses éoliennes relativement grandes pour produire une importante quantité d'électricité. Les éoliennes ont fait beaucoup de progrès en aérodynamique et sont de plus en plus silencieuses. Le défaut principal de cette énergie est son intermittence, et sa dépendance envers sa source. Parfois il y a du vent, parfois pas et parfois trop.

Par DAVID REMITA (11/09/2009)

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 Véhicule écologique

Qu'est-ce que le projet CLEVER
?

R.T. : CLEVER (Compact Low Emission Vehicle for Urban Transport), "intelligent" en français, est un projet européen, financé par l'Union Européenne à hauteur de 2,2 M€ pour un budget global de 3,35 M€ (complété par la firme allemande BMW, partenaire majeur du projet). CLEVER a réuni 9 partenaires européens des secteurs de l'industrie et de la recherche.
D'une durée de 3 ans, le projet a abouti à la conception de 5 démonstrateurs : trois pour les essais de validation sécurité (crash-tests), un pour la phase de mise au point, le cinquième étant le véhicule définitif. Il a été dévoilé à Berlin le 10 avril puis au Royaume-Uni à Bath le 24 avril 2006. Il a également été présenté au congrès autrichien Vienna Motor Symposium sur le stand IFP les 27 et 28 avril derniers.

 Comment marche ce véhicule écologique ?

R.T. : Le CLEVER est un véhicule à 3 roues pour 2 personnes assises en tandem avec un moteur monocylindre optimisé pour fonctionner au gaz naturel. Cette architecture s'est imposée comme celle présentant le meilleur compromis entre une stabilité irréprochable en virage, un encombrement minimal et une bonne habitabilité.
Carrossé avec des panneaux légers thermo formés, le véhicule a été conçu pour protéger les occupants de toute intempérie et leur assurer une sécurité optimale en cas d'accident (structure à absorption d'énergie, ceinture, airbag, etc.) Ainsi, le CLEVER offre une sécurité équivalente à celle d'une berline (3 étoiles au test EuroNcap). Les sensations de conduite sont semblables à celles d'une moto, mais avec un pilotage propre à un véhicule à 4 roues : la conduite du véhicule est contrôlée par un volant de conception classique.
Son poids à vide est de 400 kg (la moitié du poids des plus petites voitures de série actuellement commercialisées).
 

voir le clip vidéo CLEVER (nouvelle fenêtre)

 

 

  • Quels sont les avantages d'un moteur au gaz naturel ?

R.T. : Le gaz naturel est un carburant alternatif qui apporte une réponse pertinente au souci de diversification énergétique et de réduction des gaz à effet de serre. C'est également un excellent carburant qui peut être avantageusement mis à profit pour assurer des combustions de très haut rendement. Le véhicule CLEVER ne roule qu'au gaz naturel et consomme en moyenne 2,8 Nm3 de gaz pour 100 km. Avec un prix moyen de 0,65 € le Nm3 de gaz naturel à la pompe, le prix de revient kilométrique pour le poste carburant serait entre 2 et 3 fois moins élevé en comparaison de l'essence ! Les émissions de CO2 sont de l'ordre de 60 g/km, ce qui constitue une excellente performance (une Smart Fortwo essence émet en comparaison 118 gCO2/km). Le gaz naturel est stocké à bord sous une pression de 250 bar dans 2 bouteilles amovibles de 6 litres de capacité en fibre de carbone, ce qui offre au véhicule une autonomie d'au moins 100 km.
Ce gaz alimente un moteur Rotax, dérivé de celui qui équipe le véhicule 2 roue BMW C1. La puissance développée permet d'atteindre une vitesse de pointe de 100 km/h et assure une accélération en phase avec les attentes d'un conducteur de véhicule urbain (de 0 à 60 km/h en 7 secondes).

 

  • Quels sont les apports de l'IFP au projet européen CLEVER ?

R.T. : Responsable de la partie motorisation du projet, l'IFP a apporté son expertise et ses compétences dans le développement des technologies moteurs adaptées au gaz naturel.
L'IFP a notamment travaillé sur la conception du moteur à cylindrée augmentée, a assuré la réalisation de 2 groupes moteur, a mis au point le moteur et sa cartographie nécessaire au contrôle moteur (phases réalisées au banc moteur), a participé activement à la mise au point finale du véhicule, le tout en relation avec les partenaires en charge des autres organes (châssis, transmission, véhicule, etc.). L'IFP envisage d'ores et déjà de participer au projet CLEVER 2 en cours d'élaboration, intégrant des évolutions technologiques comme l'hybridation. Seuls les constructeurs peuvent se prononcer sur l'industrialisation du concept : une échéance de plusieurs années semble nécessaire avant toute commercialisation, qui dépend notamment de l'intérêt des utilisateurs potentiels. A noter également : toutes les phases de conception et de mise au point ont été menées en tenant compte des contraintes d'industrialisation. 

David REMITA (12/05/2009)

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Les ampoules basse consommation à spectre complet sont une évolution de l'ampoule qui vous apporte une qualité de lumière jusqu'ici inégalée.  D'une part ces ampoules ont une consommation d'electricité réduite par rapport à une ampoule classique, mais surtout elles innondent votre pièce d'une lumière proche du soleil. Enfin certaines ampoules intègre un ioniseur pour détruire les particules en suspension dans votre air.  ampoule basse consommation Pourquoi parle t on de spectre complet ? La lumière est une longueur d'onde, elle dispose d'un spectre. La lumière visible ne représente qu'une infime partie du spectre des ondes électromagnétiques. Ces nouvelles ampoules permettent d'avoir un spectre qui inclut les ondes UV-A et UV-B . A dose homéopathique celle ci dynamise l'organisme. Elles sont bénéfique pour tous les êtres vivant dans la pièce. N'oubliez pas, lorsqu'une onde electromagnétique rencontre de la matière elle est absorbé et réémise dans toutes les directions. C'est pendant cette absorbtion que le corps se nourrit des effets positifs de la lumière du jour.
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Précaution lors de l'achat : On ne saurait être que vigilent lors de l'achat de son ampoule fluocompacte à spectre complet. En effet certaines ampoules générent un champ magnétique puissant, qui risque de nuire aux personnes dans la pièce (maux de tête, nausée, fatigue, etc..). Facile à reconnaitre ces ampoules sont peu onéreuse, sont vendu sur des sites d'enchères et fabriquées en Asie. Actuellement les leaders en matière de technologie à spectre complet sont les fabricants Allemand. N'hésitez pas à nous demander conseil , nous sommes en étroite collaboration avec les fabricants pour vous informer des différences entre les ampoules.  
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A l'instart des journées d'été qui nous apportent une lumière riche en ultra violet, les ampoules basse consommation à spectre complet diffusent une lumière proche de celle du soleil à midi. Attention cependant , vérifiez bien l'indice IRC lors de votre choix d'ampoule economique.  

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DE L'ELECTRICITE A PARTIR DU SOLEIL ...
l'énergie photovoltaïque, des informations et des réalisations

PRESENTATION

Nous avons regroupé dans ce dossier des informations qui nous semblent utiles 
et intéressantes concernant l’énergie photovoltaïque, les principes 
de fonctionnement des cellules photovoltaïques, leurs principales 
caractéristiques, les modes de fabrication, le marché du photovoltaïque
 dans le monde, une description des différentes applications (à paraître), 
le stockage par batteries (à paraître), ainsi que des informations sur 
le dimensionnement d’installations solaires photovoltaïques (à paraître).

 

Photo J-C Scholle

 











La première partie ,

nous l’espérons, de mieux comprendre
 le principe de fonctionnement des photopile
(ou cellules photovoltaïques), leur technologie, les 
caractéristiques énergétiques et électriques 
des cellules photovoltaïques, l’influence de 
la température et de l’éclairement sur 
leur fonctionnement, les associations en 
parallèle et en série de
 cellules. Un chapitre est également consacré 
aux modules photovoltaïques et aux normes 
auxquelles les modules photovoltaïques répondent.

Dans la deuxième partie de ce dossier, 
nous décrivons les différentes étapes 
qui interviennent dans la fabrication 
des cellules et modules photovoltaïques
,
 ainsi qu’un " état des lieux " du marché 
de la fabrication du secteur photovoltaïque 
dans le monde.

Dans une troisième partie, nous avons 
voulu présenter différentes installations 
photovoltaïques
en les classant par " famille "
 suivant des critères définis. Ces exemples 
permettront au lecteur de se faire une
 idée des caractéristiques des installations
 solaires photovoltaïques, des services 
rendus, des composants et des différentes 
applications possibles (à paraître).

Nous avons complété ces pages par des 
fiches descriptives de kits solaires 
photovoltaïques pour des maisons individuelles en site isolé 
(caractéristiques, composants, tarifs).

Par la suite, dans la quatrième partie, le lecteur 
trouvera des informations sur le stockage d’énergie 
par batteries
,lesdifférents typesbatteries 
utilisées dans les applications solaires ainsi que 
les critères à prendre en compte lors du choix 
d’une batterie.



Ces pages, nous l’espérons, permettrons au lecteur de comprendre 
par exemple pourquoi les batteries de voitures ne sont pas 
adaptées pour des applications photovoltaïques classiques (à paraître).

Dans une dernière partie sont regroupées quelques méthodes de 
dimensionnement
et une description et comparaison de plusieurs 
logiciels de dimensionnement existants sur le marché (à paraître).

 présenté par : David REMITA
(24/03/2009)

Suite :

INTRODUCTION

Face aux prévisions d’épuisement inéluctable des ressources mondiales en énergie fossile (pétrole, gaz, charbon...), en énergie d’origine thermonucléaire (uranium, plutonium...), face aux multiples crises pétrolières, économiques, aux changements climatiques dus à l’effet de serre, la science s’est tout naturellement intéressée aux ressources dites " renouvelables " et notamment vers la plus ancienne, le soleil, qui déverse chaque jour l’équivalent de 100 000 milliards de TEP (tonnes équivalent pétrole). Cette valeur est à comparer aux 9,58 milliards de TEP que représente la consommation annuelle mondiale en énergie primaire (1998) (8).

Considéré dans l’Antiquité comme un dieu, le soleil est aujourd’hui réduit au statut d’énergie, une énergie qu’il nous faut apprendre à capter, à transformer, à stocker... capter cette énergie solaire et la transformer directement en électricité par effet photovoltaïque est une alternative.

Quelques dates importantes dans l’histoire du photovoltaïque :

1839 : Le physicien français Edmond Beckerel découvre l’effet photovoltaïque.

1875 : Werner Von Siemens expose devant l’Académie des Sciences de Berlin un article sur l’effet photovoltaïque dans les semi-conducteurs. Mais jusqu’à la Seconde Guerre Mondiale, le phénomène reste encore une curiosité de laboratoire.

1954 : Trois chercheurs américains, Chapin, Pearson et Prince, mettent au point une cellule photovoltaïque à haut rendement au moment où l’industrie spatiale naissante cherche des solutions nouvelles pour alimenter ses satellites.

1958 : Une cellule avec un rendement de 9 % est mise au point. Les premiers satellites alimentés par des cellules solaires sont envoyés dans l’espace.

1973 : La première maison alimentée par des cellules photovoltaïques est construite à l’Université de Delaware.

1983 : La première voiture alimentée par énergie photovoltaïque parcourt une distance de 4 000 km en Australie.

Nous décrirons successivement dans les pages qui suivent :

  • les principes de base qui régissent le fonctionnement de la cellule photovoltaïque (PV) et plus particulièrement de la cellule photovoltaïque à base de silicium,
  • les modes de fabrication des cellules photovoltaïques,
  • les modes de fabrication des cellules photovoltaïques et le marché.

Le lecteur trouvera également :

  • un glossaire,
  • la bibliographie,
  • quelques pages questions / réponses FAQ (fréquent asked questions) très souvent posées concernant l'électricité solaire.

Ces pages ne sont en aucun cas un document scientifique fondamental mais plutôt un document de vulgarisation et de " premier contact " avec l’effet photovoltaïque.

Les cellules photovoltaïques

L’effet photovoltaïque

Lorsqu’un matériau est exposé à la lumière du soleil, les atomes exposés au rayonnement sont " bombardés " par les photons constituant la lumière; sous l’action de ce bombardement, les électrons des couches électroniques supérieures (appelés électrons des couches de valence) ont tendance à être " arrachés / décrochés " :

si l’électron revient à son état initial, l’agitation de l’électron se traduit par un échauffement du matériau. L’énergie cinétique du photon est transformée en énergie thermique.

par contre, dans les cellules photovoltaïques, une partie des électrons ne revient pas à son état initial. Les électrons " décrochés " créent une tension électrique continue faible. Une partie de l’énergie cinétique des photons est ainsi directement transformée en énergie électrique : c’est l’effet photovoltaïque.

L’effet photovoltaïque constitue la conversion directe de l'énergie du rayonnement solaire en énergie électrique. Le terme photovoltaïque vient du grec " phos, photos " qui désigne la lumière et de " voltaïque ", mot dérivé du physicien italien Alessandro VOLTA, connu pour ses travaux sur l’électricité.

Le principe de fonctionnement d’une cellule photovoltaïque au silicium

Source non précisée
Figure 1 - Une cellule photovoltaïque
Phographie 1 - Une cellule photovoltaïque

Dès qu’elle est éclairée, une cellule photovoltaïque, appelée également photopile, génère un courant électrique continu à ses bornes, sous une tension électrique. Son principe de fonctionnement (illustré ci-dessous) est simple : il consiste à convertir l'énergie cinétique des photons (particules de lumière par exemple composant du rayonnement solaire) en énergie électrique (Schéma 1 - Principe de fonctionnement d’une cellule photovoltaïque).

Source (14)
Schéma 1 - Principe de fonctionnement d’une cellule photovoltaïqu
Schéma 1 - Principe de fonctionnement d’une cellule photovoltaïque

En première approximation, on peut considérer ce système comme un générateur de courant continu. Il convient de noter que ce générateur ne possède aucune pièce mobile.

Les cellules photovoltaïques (PV) sont réalisées à partir de matériaux semi-conducteurs, et en particulier le silicium à partir duquel la majorité des cellules PV sont fabriquées (99 % des cellules fabriquées en 2001) (6).

Source (71)
Figure 2 - Les différents types de cellules PV
Figure 1 - Les différents types de cellules PV

Le silicium est l’un des éléments les plus abondants sur la planète Terre : il représente 28 % de l’écorce terrestre (44 et 61). Il n’est pas présent à l’état pur mais, par exemple, sous forme de sable siliceux. Il est parfaitement homogène (isotrope), stable et non toxique. Le silicium est obtenu par purification (par exemple par centrifugation en fusion sous vide) d'un lingot de silicium provenant de la fonderie.

Dans un matériau semi-conducteur, la situation électrique est intermédiaire entre un isolant électrique et un conducteur électrique : les électrons de valence ne peuvent circuler que si on leur apporte une énergie pour les libérer de leurs atomes (énergie solaire par exemple), c’est à dire que le matériau semi-conducteur devient conducteur seulement si on lui apporte de l’énergie.

Source (61)
Schéma 2 - Représentation d’une photopile en silicium parfait
Schéma 2 - Représentation d’une photopile en silicium parfait

Les électrons tournent autour des noyaux, dans la cellule photovoltaïque, sous l’effet de la lumière, les électrons de la couche supérieure des atomes sont " arrachés " sous l’action du choc d’un photon lumineux (cf. Schéma 2). Les électrons " décrochés " des atomes créent ainsi un courant continu directement utilisable aux bornes de la cellule, sous une tension électrique continue (tension de circuit ouvert de l’ordre de 0,4 à 0,6 Volt pour les cellules photovoltaïques au silicium monocristallin, dans des conditions de fonctionnement standards (STC).

Le fonctionnement des cellules photovoltaïques au silicium repose sur les propriétés électroniques de ce matériau, dont les atomes sont parfaitement rangés en lignes et en colonnes et liés les uns aux autres par quatre paires d’électrons périphériques : le silicium est dit tétravalent.

En outre, on améliore sa conduction en dopant ce cristal, c'est-à-dire en ajoutant, dans le réseau cristallin, des atomes étrangers (impuretés) de même taille, en petit nombre, qui possèdent un nombre d’électrons périphériques juste inférieur ou juste supérieur aux 4 électrons de valence du silicium.

Pour expliquer ce phénomène, nous avons reproduit une partie d’un site Internet (http: / / www.bonhomme-gildas.fr).

Le modèle des bandes d’énergie :

Pour des atomes à 4 électrons de valence (structure en ns² np²) tel que le silicium ou le carbone, on a deux ensembles de niveaux d’énergies très proches les uns des autres. Ces deux ensembles forment deux bandes d’énergie : une bande liante contenant 2 n niveaux (pouvant recevoir 4 n électrons) et une bande anti-liante à 2 n niveaux également :

Source (61)  
Schéma 3 Bande de conduction vide (bande non saturée en électrons).

Eg

Bande de valence (saturée à 4 n électrons).

Schéma 3  

 

Source (61)
Schéma 4
Schéma 4

Eg est la valeur de l’écart entre les 2 bandes (gap). Les isolants correspondent à Eg > 5 eV et les semi-conducteurs à Eg < 5 eV. En effet, si Eg n’est pas trop grand et si un photon est absorbé par le matériau (ou si la température augmente) un électron peut " sauter " la bande d’énergie Eg et " peupler " la bande de conduction.

Source (66)
Figure 2 - Efficacité en fonction des gap (Eg) pour différents types de semi conducteurs (courbe verte)
Schéma 3

Le dopage d’une cellule PV au silicium

En quittant la bande de valence, l’électron laisse un " trou " qui va se comporter comme une charge positive, et qui va se

Une autre description du fonctionnement d'une cellule photovoltaïque Schéma du fonctionnement d’une cellule photovoltaïque
Le silicium a été choisi pour réaliser les cellules solaires photovoltaïques pour ses propriétés électroniques, caractérisées par la présence de quatre électrons sur sa couche périphérique (colonne IV du tableau de Mendeleiev). Dans le silicium solide, chaque atome est lié à quatre voisins, et tous les électrons de la couche périphérique participent aux liaisons. Si un atome de silicium est remplacé par un atome de la colonne V (phosphore par exemple), un des électrons ne participe pas aux liaisons ; il peut donc se déplacer dans le réseau. Il y a conduction par un électron, et le semiconducteur est dit dopé de type n. Si au contraire un atome de silicium est remplacé par un atome de la colonne III (bore par exemple), il manque un électron pour réaliser toutes les liaisons, et un électron peut venir combler ce manque. On dit alors qu'il y a conduction par un trou, et le semiconducteur est dit dopé de type p. Les atomes tels que le bore ou le phosphore sont des dopants du silicium.

Lorsqu'un semiconducteur de type n est mis en contact avec un semiconducteur de type p, les électrons en excès dans le matériau n diffusent dans le matériau p. La zone initialement dopée n devient chargée positivement, et la zone initialement dopée p devient chargée négativement. Il se crée donc un champ électrique entre les zones n et p, qui tend à repousser les électrons dans la zone n et un équilibre s'établit. Une jonction a été créée, et en ajoutant des contacts métalliques sur les zones n et p, c'est une diode qui est obtenue.
Lorsque cette diode est éclairée, les photons sont absorbés par le matériau et chaque photon donne naissance à un électron et un trou (on parle de paireélectron-trou). La jonction de la diode sépare les électrons et les trous, donnant naissance à une différence de potentiel entre les contacts n et p, et un courant circule si une résistance est placée entre les contacts de la diode

Extrait de CEA / UCAP / RPP - SITE INTERNET DU CEA CADARACHE
Clefs CEA n° 44 - Nouvelles technologies de l'énergie

recombiner avec le premier électron qu’il rencontrera. Il suffit donc de créer un champ électrique qui sépare les électrons des trous afin d’éviter qu’ils se recombinent, ce qui a également pour effet de créer un courant électrique.

L’un des moyens le plus employés généralement est de créer une jonction " P-N ", obtenue en " dopant " le semi-conducteur, c’est à dire en y introduisant de faibles quantités d’un autre matériau appelé impureté :

si les atomes d’un matériau tel que le phosphore contiennent plus d’électrons que le matériau semi-conducteur avec lequel il sera mélangé et qu’il dopera, le semi conducteur dopé contiendra des électrons libres en excès : il sera dit de type " N ". Le dopage " N " consiste donc par exemple à ajouter au semi-conducteur des atomes possédant 5 électrons périphériques (phosphore par exemple). Quatre de ces électrons vont participer à la structure et un électron supplémentaire va se retrouver libre et pouvoir se déplacer. Ce sont des porteurs de charges mobiles. Ce dopage se fait sur la face avant exposée à la lumière ;

si, au contraire, les atomes d’impureté - bore par exemple - contiennent moins d’électrons que le matériau semi-conducteur avec lequel il sera mélangé et qu’il dopera .(comme le bore), le semi conducteur dopé sera déficitaire en électrons : il sera dit de type " P ". Le dopage " P " consiste donc par exemple à ajouter au silicium des atomes possédant 3 électrons de valence (bore par exemple). Ceux-ci participent à la structure, mais un " trou " est créé par chaque atome étranger puisqu’il lui manque un électron périphérique. Ce dopage se fait sur la face arrière du semi-conducteur.

En " liant " solidairement un cristal N et un cristal P, on crée une jonction P-N, au sein de laquelle il est possible de faire apparaître un champ électrique interne pour entraîner vers le circuit extérieur les charges électriques libérées sous illumination. Ainsi, sous l’action du choc du photon, l’électron en excès sur l’atome d’impureté N est arraché, créant un " trou électronique " (cf. Schéma 2).

L’électron arraché est capté naturellement par l’atome d’impureté P qui est déficitaire en électrons, créant ainsi une " bosse électronique ". La liaison est alors devenue instable électroniquement et aura tendance à revenir à son état d’équilibre électronique initial - le " trou " précédemment créé sera comblé par un électron et ainsi de suite, créant donc une circulation d’électrons, et donc un courant électrique (cf. Schéma 5).


présenté par : David REMITA
(02/04/2009)
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Nanotechnologie
Le Conseil national de recherches du Canada CNRC joue un rôle clé pour aider le Canada à participer activement à la quête internationale de découvertes au niveau atomique et moléculaire. La nanotechnologie – qui est la recherche, le développement et la commercialisation de matériaux et de dispositifs à l'échelle du milliardième de mètre – ouvre de nouveaux horizons dans pratiquement tous les secteurs de l'économie, allant des sciences des matériaux à la biomédecine, en passant par les technologies de l'information et des communications. La recherche en nanotechnologie se poursuit dans plusieurs instituts du CNRC partout au pays dans les secteurs suivants. En partenariat avec des intervenants clés, ces instituts augmentent l'expertise canadienne et permettrent au Canada de demeurer à l'avant-garde de la révolution naissante en nanotechnologie.
  • Nanotechnologie
  • Nanomatériaux
  • Nanocomposants, nanomatériaux et nanodispositifs
  • Catalyseurs, électrodes et membranes pour la technologie des piles à combustible
  • Nanocomposites polymériques
  • Nanoélectrodes et biocapteurs
  • Performance des couches minces et des surfaces
  • Nanométrologie
Nanotechnologie
Établi en 2001 comme un partenariat entre le CNRC et l'Université de l'Alberta, l'INN explore l'intégration au niveau moléculaire des nano-dispositifs les plus puissants de la nature, comme les protéines, les lipides et d'autres structures biologiques faites de matériau organique "mou", avec des semi-conducteurs cristallins, des métaux et des catalyseurs faits de matériaux inorganiques "durs".
En 2006, l'INN déménagera dans l'une des installations de recherche les plus technologiquement avancées du monde. D'une superficie de 15 000 mètres carrés, elle sera en mesure d'accueillir 120 employés permanents, 45 travailleurs invités et jusqu'à 275 chercheurs diplômés et au niveau postdoctoral.
Nanomatériaux
L'ISSM-CNRC étudie la structure et la stabilité des nanomatériaux, la corrélation entre la structure électronique et géométrique de ces matériaux et leurs propriétés macroscopiques, ainsi que l'application de ces connaissances à la conception de nouveaux matériaux présentant des caractéristiques particulières.
Nanocomposants, nanomatériaux et nanodispositifs
L' ISM-CNRC s'intéresse à la nanoscience depuis le tout début : il a mis au point la technologie nécessaire pour fabriquer des nanostructures à semiconducteurs dont il a mesuré et étudié les propriétés et il a aussi exploré leurs applications potentielles. La boîte à outil de l'ISM-CNRC en nanoscience comprend des techniques de pointe qui permettent de modifier les caractéristiques de composants à la nanoéchelle et de produire des matériaux qui induisent l'auto-assemblage des points quantiques – ces structures minuscules qui pourraient être utilisées un jour pour former des nanocircuits pour la prochaine génération de dispositifs à semiconducteurs.
L'un des défis que posent les matériaux organiques est leur sensibilité aux solvants qui sont communément utilisés pour la fabrication, ainsi qu'à l'oxygène, à l'humidité et aux températures élevées. L'équipe multidisciplinaire de l'ISM-CNRC, qui est formée de physiciens, de chimistes et d'ingénieurs, a mis au point un écran d'affichage en plastique souple qui utilise des couches minces organiques, et elle travaille actuellement à mettre au point des dispositifs électroniques et optiques en plastique transparent pour des applications en télécommunications.
Ces nanostructures à semiconducteurs seront utilisées pour construire une nouvelle catégorie d'ordinateurs quantiques qui obéiront aux lois de la mécanique quantique plutôt qu'aux lois de la mécanique classique; de tels ordinateurs pourraient fournir une puissance de calcul sans précédent. Leurs applications incluent la sécurité (banques, défense nationale), les technologies de l'information et des communications, la biologie, la météorologie, l'ingénierie et les sciences physiques. Les chercheurs de l'ISM-CNRC ont établi les principes de base du calcul quantique et il est d'ores et déjà possible de combiner des qubits pour former le plus petit circuit quantique existant. Ils travaillent présentement à mettre au point une technique permettant de créer des circuits plus complexes et de les coupler au moyen d'un faisceau de lumière.
Catalyseurs, électrodes et membranes pour la technologie des piles à combustible
La nanotechnologie a le potentiel de révolutionner le secteur manufacturier.  À l'ITPCE-CNRC, les scientifiques sont en train de développer des nanomatériaux qui possèdent une fonctionnalité améliorée, ce qui permettra de créer une nouvelle génération de produits et de dispositifs.
Les chercheurs de l'ITPCE-CNRC mettent au point des nanocatalyseurs bimétalliques stabilisés au moyen de polymères; de tels catalyseurs permettront d'obtenir une plus grande densité de puissance pour la même quantité de catalyseur et, par conséquent, d'abaisser le coût des piles à combustible. Ils tentent aussi de déterminer la composition et la structure idéales des alliages ternaires Pt/Ru/Os, car ceux-ci ont une meilleure capacité catalytique que les alliages utilisés actuellement.
En plus des catalyseurs, les chercheurs s'affairent aussi à mettre au point des matériaux en céramique nanostructurés, des polymères intelligents pour des applications biomédicales et en photonique, et une nouvelle génération de nanocomposites ferromagnétiques.
Nanocomposites polymériques
Des chercheurs de l'IMI-CNRC ont amélioré de 50 % les propriétés physiques de certains polymères en leur ajoutant des nanoparticules d'argile.
On estime que le marché de ces nanocomposites polymériques atteindra 3 milliards de dollars d'ici 2009, et que le marché canadien se chiffrera à 500 millions de dollars par année d'ici la fin de la décennie. Les nanocomposites promettent aussi d'accroître la performance des revêtements, des catalyseurs et des membranes.
Avec le concours de plusieurs grandes entreprises, l'IMI‑CNRC poursuit aussi le programme de recherche et de développement en technologie des nanocomposites polymères a doté d'un budget annuel de 300 000 $.
Nanoélectrodes et biocapteurs
À l'IRB-CNRC, les chercheurs sont en train de développer des biocapteurs qui accouplent des nanostructures avec des éléments biologiques, de l'électronique et des architectures aux niveaux atomiques et moléculaires. Ces nanobiocapteurs peuvent être utilisés pour détecter des pathogènes, des métaux lourds et d'autres molécules présents dans l'environnement et les industries de la santé et de l'alimentation.
Performance des couches minces et des surfaces
D'un bout à l'autre du Canada, des chercheurs du CNRC travaillent à mettre au point de nouvelles techniques de revêtement des surfaces qui amélioreront de façon importante les produits existants. À Boucherville, au Québec à l'IMI-CNRC, des revêtements projetés par plasma sont utilisés pour accroître la résistance à l'usure des outils en plastique et en métal moulés par injection. À l'IRA-CNRC, les travaux en cours permettront de mettre au point des procédés plus écologiques pour le placage au chrome dur et d'accroître la résistance à l'usure et à l'abrasion des aubes de turbine. D'autres instituts à Ottawa perfectionnent de nouvelles techniques de dépôt en phase vapeur des couches minces pour des applications dans l'industrie électronique. L'ITFI-CNRC   est un chef de file de la consolidation laser des nanopoudres métalliques pour la fabrication rapide de revêtements et d'outils. Enfin, l'IIPC-CNRC   de Vancouver abrite le groupe de recherche en tribologie du CNRC, qui étudie les propriétés de résistance à l'usure et au frottement à l'échelle du nanomètre.
Nanométrologie
Le Programme de métrologie dimensionnelle de l'IENM-CNRC apporte aussi son soutien au tout nouveau programme canadien de recherche en nanotechnologie en fournissant des services d'étalonnage complets pour la mesure dimensionnelle de grande précision au Canada. Les paramètres dimensionnels visés par ce programme comprennent la longueur, l'angle, la planéité, la rotondité, la rugosité des surfaces et les formes tridimensionnelles. Le groupe met aussi au point des instruments de mesure à la fine pointe fabriqués sur commande; il conduit et coordonne des enquêtes; et il poursuit de la recherche fondamentale et des études scientifiques. L'ENM-CNRC est membre des principaux comités internationaux qui établissent les normes en matière de nanométrologie et il s'assure également, par sa participation à ces comités, que les fabricants canadiens ont accès aux matériaux de référence dont ils ont besoin.
La nanotechnologie, c'est l'ingénierie à l'échelle nanométrique dans le but de produire des matériaux et instruments dont les propriétés particulières ne peuvent être obtenues à partir de matériaux traditionnels. On fait appel à la nanotechnologie pour mettre au point de nouveaux produits destinés à l'industrie de la construction, une industrie dans laquelle les matériaux jouent un rôle très important. Le but de l'IRC-CNRC est de faire en sorte que cette industrie et les personnes qui utilisent ses produits bénéficient pleinement de cette nouvelle technologie révolutionnaire. L'IRC-CNRC s'intéresse à la nanotechnologie pour un vaste éventail d'applications en construction, de la production de nouveaux matériaux pour des immeubles, routes et ponts, aux technologies d'adaptation et de réparation, en passant par la prévention des incendies. L'IRC-CNRC explore également l'effet de particules nanométriques sur la qualité de l'air intérieur. Notre équipe interdisciplinaire de chercheurs a accès à des installations uniques en leur genre à l'appui de ces travaux et collabore avec des chercheurs de l'ensemble du Conseil national de recherches du Canada.

 
LE SAVIEZ-VOUS?

Le premier circuit électrique à molécule unique au monde

Les chercheurs de l'INNT sont en train de construire l'ordinateur de l'avenir – une molécule à la fois. L'équipe a créé un circuit électrique comportant une seule molécule, une découverte qui pourrait paver la voie vers la miniaturisation des ordinateurs et vers la création de capteurs assez petits pour détecter des interactions d'une seule molécule.
Présentement, la capacité de fabriquer des ordinateurs plus petits est limitée par les contraintes de taille des transistors qu'ils utilisent. Chaque transistor possède trois électrodes, qui doivent être en contact physique pour permettre à l'électricité de passer. Faire en sorte que trois électrodes touchent une unique molécule est presque physiquement impossible, et les chercheurs ont fait la meilleure chose suivante – ils ont fait faire par deux électrodes le travail de trois.
Les ordinateurs contiennent des millions de transistors qui s'allument et s'éteignent, ce qui permet aux processeurs d'effectuer des fonctions logiques. La technologie actuelle des transistors nécessite environ un million d'électrons pour faire changer l'état électrique d'un seul transistor, ce qui utilise énormément d'électricité et génère beaucoup de pertes de chaleur. L'équipe de recherche essaie d'obtenir des multiples de leurs unités à molécule unique afin de créer un circuit intégré de molécules. L'utilisation d'un seul électron, plutôt qu'un million, procurerait d'énormes avantages de vitesse et d'économie d'énergie.
L'équipe travaille aussi à convertir sa découverte en un capteur qui pourrait être utilisé dans des appareils de diagnostic médical capables de détecter quand une molécule unique s'attache à un récepteur sur une cellule.

 

Test : Gigabyte 9600GT OC et Passive seule et en SLI : 

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  • Test : Gigabyte 9600GT OC et Passive seule et en SLI chez notre partenaire 59Hardware.
    Aujourd’hui nous allons nous intéresser à deux 9600GT qui ont la particularité d’être à la fois passives et overclockées. Lancée il y a tout juste quatre mois la 9600GT est une carte plutôt intéressante, possédant un bon rapport qualité prix. Nous allons donc revenir dessus (nous l’avions déjà testé ici-même lors de son lancement) et nous intéresser au modèle prometteur de chez Gigabyte : la GV-NX96T512HP ou encore la 9600 GT Passive et Overclockée.


     

 
[ Posté par : Fred | Source : 59Hardware | Ajouter un commentaire | Haut ]

 

 Sélectionné par : David REMITA  Source : C.N.R.C. C
 (17/03/2009)
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Préparé par  : R. REMITA (14/02/2009)

L'espionnage sur Internet de votre ordinateur : spyware, adware, keylogger, web-bug, ...
Les moyens dédiés à l'espionnage sur Internet portent atteinte à votre vie privée ou menacent votre sécurité. Le but est de déterminer votre profil de consommateur (pour vous envoyer des publicités ciblées), de vous voler des informations confidentielles ou d'usurper votre identité sur un service Web.
Les espions dangeureux
Les spyware
Champion de l'espionnage, un spyware (logiciel espion ou espiogiciel ) envoie à votre insu vos informations personnelles à un serveur distant, le plus souvent à des fins marketing ( sites visités, liste de vos logiciels, vos centres d'intérêts, etc ... ).
Un spyware est installé en même temps qu'un autre programme (système d'exploitation, accélérateur de téléchargement, ...). Bien qu'on en trouve plus souvent dans les applications gratuites, la majorité des programmes n'en ont pas.
L'ajout d'un spyware dans un logiciel est interdit par un amendement du Parlement Européen sans l'accord préalable de la personne concernée, l'installation d'un logiciel doit explicitement signaler la présence d'un espiogiciel et vous demander votre accord.
Le Social Engineering (ingénierie sociale)
Le SE est peut-être la forme la plus dangereuse, en tous cas la plus méconnue. Elle n'exploite aucune technique informatique ou très peu, voir le maillon faible.
Le phishing qui s'en prend à votre argent, est la forme la plus dangereuse pour votre sécurité.
Les keylogger
Installé par un troyen, un logiciel keylogger enregistre vos frappes au clavier, en particulier vos pseudonyme et mot de passe, pour les envoyer ensuite à un pirate.
Les cookies confidentiels
Les cookies sont des fichiers d'informations enregistrés sur votre ordinateur par votre navigateur à la demande d'un site Web. Ils permettent de vous attribuer un profil ou une qualité, au moins pendant la durée de votre navigation sur le site, voire indéfiniment.
Les cookies confidentiels peuvent contenir :
·             vos pseudonyme et mot de passe (pour poster des messages sur un forum sans devoir vous identifier plusieurs fois)
·             un numéro de session (pour conserver le contenu de votre caddie virtuel d'un rayon à l'autre, sur un site de commerce)
·             des informations saisies par vous (votre numéro de carte bancaire, vos centres d'intérêt, ...)
Un cookie enregistré par un site ne peut être lu par un autre mais un programme pirate (déposé dans une page Web par exemple par un autre membre) peut récupérer le contenu de votre cookie, par exemple pour se connecter au service sous votre compte.
Autres techniques pouvant servir à vous espionner
Les adware
Cousins des spyware, les adware sont aussi installés avec un programme mais sont inoffensifs. Réservés à l'affichage de publicité, ils permettent de financer des programmes gratuits.
Malheureusement des accouplements consanguins engendrent des spadware qui remplissent les deux fonctions.
L'anonymat sur Internet et les traces laissées par des logiciels bavards
Votre identité sur Internet est votre adresse IP. La plupart de vos interlocuteurs sur Internet (site Web, correspondant par email, ...) peuvent obtenir facilement votre adresse IP, et ainsi votre FAI, votre pays, et votre adresse postale partielle.
Vos navigateur, programme de messagerie et autre lecteur de news laissent des traces : ils divulguent automatiquement leur nom, leur version et ceux de votre système d'exploitation, et parfois davantage suivant le contexte.
Ces informations techniques sont utiles à un pirate pour réussir une intrusion, une déconnexion ou un empoisonnement par email lourd à digérer, pimenté au virus ou farci au cheval (de Troie).
Les mouchards
Il existe un certain nombre de mouchards dans votre système d'exploitation et certains logiciels Internet.
·             Ils peuvent être passifs : les fichiers effacés ne le sont pas réellement, ils subsistent physiquement sur votre disque dur pendant une durée variable, voire indéfiniment.
·             Les mouchards actifs enregistrent votre activité (fichiers, dossiers et applications ouverts depuis x temps, historique des sites visités, etc. ...).
ARICLE PROPOS2 PAR : DAVID REMITA (14/01/2010)

 

ACTUALITE  
  -Bonne nouvelle pour les utilisateurs d eFace book
La famille REMITA est présente sur Face Book.
vous trouvez la page face book sous le nom "lafamille remita"
La direction 23-11-2011
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-La consommation d'alcool au moment de l'adolescence paraît associée à une augmentation du risque de mastopathies proliférantes bénignes à l'âge adulte (HR 1,12 par 10g consommés chaque jour, IC 95 % 1,03 à 1,22).
Article sélectionné par Dr Kamel REMITA -rubrique Quoi de neuf?
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-Ahmed Remita nous a quitté le 15-11-2011 à l'age de 72 ans, c'était un homme de qualité, enseignant, homme de culture et journaliste, il était aussi discret qu'affable, à l'instar d'une autre figure de la presse constantinoise.
La Direction
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19-10-2011
Monsieur Ali REMITA fils de Maghlaoui à décidé aujourd'hui a Média prés d'Alger! après une longue Maladie! à l'age de 71 ans.
nous venons d’apprendre la terrible nouvelle qui touche Notre famille. Aussi nous tenons à vous adresser nos plus sincères condoléances. Sachez que nous nous joignons à vous, et vous invitons à croire en notre affectueux soutien
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29-10-2011
Monsieur Ahcen REMITA fils de Maghlaoui à décidé aujourd'hui a l’hôpital de Mulhouse en France à l'age de 82 ans.
nous venons d’apprendre la terrible nouvelle qui touche Notre famille. Aussi nous tenons à vous adresser nos plus sincères condoléances. Sachez que nous nous joignons à vous, et vous invitons à croire en notre affectueux soutien.
Il va enterrer à Collo en Algérie dans les jours qui vient!
La Direction.

 
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